Les assureurs canadiens « jouent avec le feu » et nagent en pleine contradiction en ce qui a trait aux changements climatiques. D’une part, ils constatent la hausse des demandes d’indemnisation de leurs clients liées aux catastrophes naturelles. Mais d’autre part, ils continuent à investir dans l’industrie des carburants fossiles et à assurer ses actifs, contribuant à réchauffer l’atmosphère.