Les îles entourant le Québec sont particulièrement vulnérables au réchauffement de la planète, selon une étude allemande. La faune et la flore des îles de la baie d'Hudson et de la baie James, particulièrement sur leur rive orientale, ont été les plus touchées dans le monde par les changements climatiques passés. Les îles du fleuve Saint-Laurent et du Golfe sont aussi à risque.