Nombre d'enfants québécois qui ont du mal à lire reçoivent à tort un diagnostic de dyslexie, alors qu'ils sont en réalité victimes de méthodes d'enseignement désuètes, croit Monique Brodeur, doyenne de la faculté des sciences de l'éducation de l'Université du Québec à Montréal (UQAM).