Cela fait des lunes que je ne m'étais pas aventurée sur le boulevard Saint-Laurent, entre Sherbrooke et des Pins, pour prendre un verre la nuit tombée. À la vue des jeunes filles en mini-jupes, même à – 30 (sans manteau, pour ne pas payer de vestiaire!), et de leurs souliers à talons vertigineux, je ressentais un malaise qui m’avait fait fuir le secteur.